Haïkus au fil du temps
Plus de neuf cents à ce jour . . .
L’haïku est à la poésie
ce que le bonzaï est à l’arbre
Nu pour chanter Nu
Ne pas se voiler la fesse
Cousu de fil blanc
Au bourreau d’agir
la tête du condamné
Là sur le billot
Tous ces tatouages
Des plus jeunes aux plus âgés
Sur peaux de tout âge
Sentier poétique
Vers impromptus sous les arbres
Il invite au rêve
Cultes désertés
Place offerte aux intégristes
Tensions assurées
Un regard espiègle
En témoin de sa malice
Cela restera
Moulin des pierres
Un verre le soir en terrasse
Moment romantique
Si profonde est l’eau
Qu’il n’est que bruits étouffés
Monde de mystères
De mort en obsèques
Défilé long de soutiens
Vient enfin la fin
Passion ou ration
Passionnel ou rationnel
Le pas s’en ira
Mes nuits sont hantées
Rêves de femmes tentantes
Un temps épatant
Un chien haletant
Essoufflé il n’a le temps
A-t-il trop couru
Comme il a vécu
Sans bruit il s’en est allé
Qu’il repose en paix
Un ami s’en va
Recueillements et adieux
L’ami est parti
Chaque jour qui passe
Combien de nouveaux haïkus
Tout autour du monde
Amusant à voir
Rencontre entre deux jeunes chiens
Festival de queues
Calme bleu du ciel
Sur la campagne un vent chaud
L’orage n’est plus loin
Les Grands Corps malades
La Nation est menacée
Manque d’Hommes d’Etat
Président puant
La voix du peuple il s’en moque
Le dédain total
Une vue splendide
Croix en or sur sa poitrine
Jésus et ses seins
Drôle de pays
Il finance une voiture
Sans qu’il ne travaille
Que fais-tu ici
Tu attends le prince charmant
Crois tu qu’il viendra
Ici ou là-bas
La même envie de vivre
Pourquoi cette guerre
Un simple bien-être
La vie est douce avec elle
Pourquoi voir ailleurs
La belle Amérique
Le temps du rêve est fini
Illusions perdues
Là-haut dans le ciel
Blanche et froide dans la nuit
Elle éclaire mes peurs
On opère sa mère
Ce qui rend son père amer
Un souci par an
C’est tous les matins
Rituel de la sortie
Une vie de chien
La Grèce est en feu
Des flammes incontrôlables
Le désert avance
Coton dans le ciel
Apaisant à regarder
Jamais s’en lasser
Logique olympique
Russie non Israël oui
Ceci est malsain
Les forêts en feu
Australie et Canada
Et l’on doute encore
Vie trop étriquée
Vers de nouveaux horizons
Je veux naviguer
L’amande émondée
Un plaisir à déguster
Partie est la peau
Princesses nazies
Le führer n’eut pu sans elles
Des femmes ordinaires
L’avenir de l’homme
On peut y croire un moment
Si c’est la tendance
Chaque jour qui passe
J’en savoure le bonheur
Pourvu que ça dure
L’ennemi attaque
Le peuple se fait justice
Il est condamné
Embarqué de force
Il est parti en criant
Je n’ai pas bronché
Condamnée la veille
Réélue le lendemain
Le message est clair
Le briseur de vies
Tant de morts sur la conscience
Il pérore encore
Pays en faillite
Fastes insolents du prince
Il est à vomir
Corps sans caresses
Attente de jours meilleurs
Il faut lui souhaiter
Monstre est son culot
Grand menteur et Verbe haut
On l’entend encore
Tu dois t’en aller
Abandon des plus fidèles
Un signe parlant
Tu dois t’en aller
Des dégâts considérables
On s’en souviendra
Tu dois t’en aller
Tes mentors vont te lâcher
Ils se sont trompés
Tu dois t’en aller
Quel niveau d’incompétence !
Dur devant la glace . . .
Tu dois t’en aller
Un petit quart d’heure de honte
Ca passe assez vite
Tu dois t’en aller
Un recyclage assuré
C’est déjà prévu
Mais tu vas rester
Ta carrière est ton karma
France tu n’as cure
Il est rassuré
Protégé par les puissants
Il reste serein
Pauvre petit bout
Vie perdue sous un tracteur
Drame familial
Aux jeux olympiques
Terrorisme médaillé
A souhaiter que non
Derrière ce sourire
Y a-t-il un trésor caché
Je ne le saurai
Non à l’oncle Sam
Belliqueux et conquérant
Nous on veut la paix
Le marais salant
Sa lente évaporation
Entre sel et terre
Une histoire de fou
Un refus d’obtempérer
Une fin tragique
Amour et musique
Sa maison en est remplie
Du soir au matin
Coucher de soleil
Quotidien et éternel
Rouge et or sur mer
Seul dans sa cellule
Dans l’angoisse du verdict
Il geint en silence
Tout autour de l’île
Pas un toit plus haut que l’autre
Bâti harmonieux
Curieux personnage
Nul ne comprend ce qu’il dit
Son monde est ailleurs
Sahara grandiose
Les dunes de Laouni
Un Cap Horn sur terre
L’art des magouilleurs
Laisser passer la tempête
Un clou chasse l’autre
Il doit s’en aller
Joe Robinette l’a admis
Un sénile en moins
Longue nuit paisible
Une nymphe à mes côté
Que rêver de mieux
Printemps renaissant
Grandes sont les tentations
Pourquoi résister
Il parle d’argent
Pour dire qu’il ne l’aime pas
Ça me fait plaisir
Les formes cachées
Ne sont-elles pas les plus belles
Merveille des robes
Rayon de soleil
Quand tu ne l’attendais plus
Il se présenta
Un homme charmant
Au sourire avé l’a´cent
De la joie au cœur
Au doigt et à l’œil
L’œil pour lui, le doigt pour elle
Chacun son plaisir
Avec Hildegard
Il est en île une idylle
A l’île de Ré
Il a mis le feu
Mauvais pyromane pompier
Il ne sait l’éteindre
Le Choix de Sophie
Des trémolos dans la voix
Rien qu’en le disant
Titre de polar
Sans slibar à Zanzibar
Une belle histoire
Sa mentalité
Source de tous les conflits
Débuts dès la crèche
Je sonne à la porte
Je n’entends plus aboyer
Il s’en est allé
Drôle de président
Dégâts incommensurablement
Que n’a-t-il détruit
Hurlements d’un fou
Le soir où il m’a fait peur
J’avais eu raison
Peuple connecté
Dirigeants déconnectés
Ça ne peut marcher
Ils sont amusants
En plein air masqués encore
La peur ça a l’air
Climato-septique
Déni de réalité
Les éléments parlent
Troupeaux de rochers
Fouettés par les alizés
Ou les flots bercés
Banc de granit rose
Pose toi, regarde au loin
Devant, l’infini
Dans le grand silence
Viennent les pensées profondes
Se taire un moment
Marcher dans les bois
Nourrir l’esprit des essences
Repartir vaillant
L’avant et l’après
Rien de neuf sous le soleil
C’est toujours ainsi
Sur les flots voguant
La goélette et le goéland
Même par gros temps
Avenir bouché
Un nouveau monde à construire
Mais l’homme reste homme
Un joli minois
Lui donnerait-il tous les droits
À croire qu’elle y croit
A chaque printemps
Son nid meuble il doit construire
La vie de l’oiseau
Il avait la frite
On aurait dit la banane
Ou plutôt la pêche
La roche et le vent
C’est elle la plus solide
Mais il gagnera
Face au bras de mer
Votre mère sous le bras
Les deux font la paire
Mauvaise nouvelle
Le merdeux vient de sévir
Qui le téléguide
Un fils et son père
Ce dernier n’est plus vaillant
Le fils devient père
Cathédrale en rose
Si vœu de minorité
Ce n’est pas exclu
Au hasard des rues
Toute cette joie de vivre
J’en reviens comblé
Dernier chien parti
Un vide dur à combler
Il faut faire sans
Depuis la première
Je n’en ai raté aucune
Un si bon moment
Musique de rue
Comme elle elle est imparfaite
Mais si chaleureuse
Le petit monsieur
Il a cassé son joujou
Et l est colère
Haute trahison
Nos plus beaux fleurons vendus
Il pérore encore
Un culot monstre
Le garant des libertés
Faisons l’inventaire
Il nous faut un boss
De la trempe des vrais chefs
Nous n’avons qu’un gosse
Comme un Air de Haine
Sur la Route Nationale
La voix s’obscurcit
Sur les flots voguant
La goélette et le goéland
Quel que soit le temps
Avenir bouché
Un nouveau monde à construire
Mais l’homme reste homme
A chaque printemps
Son nid meuble il doit construire
La vie de l’oiseau
Il avait la frite
On aurait dit la banane
Ou plutôt la pêche
La roche et le vent
C’est elle la plus solide
Mais il gagnera
Face au bras de mer
Votre mère sous le bras
Les deux font la paire
Mauvaise nouvelle
Le merdeux vient de sévir
Qui le téléguide
Un fils et son père
Ce dernier n’est plus vaillant
Le fils devient père
Cathédrale en rose
Voeu d’une minorité
Ce n’est pas exclu
Au hasard des rues
Toute cette joie de vivre
J’en reviens comblé
Dernier chien parti
Un vide dur à combler
Va falloir du temps
Depuis la première
Je n’en ai raté aucune
Un si bon moment
Musique de rue
Elles sont, les deux, imparfaites
Mais si envoûtantes
Elle offrit son corps
Un cadeau d’anniversaire
Sa façon à elle
Sa poule aux cieux dort
Il n’est plus d’œuf pour ce veuf
Mais la chair de poule
Oh contemplation
Ces calmes volcans éteints
Spectacle apaisant
Chaque année plus haut
Tu ne monteras au ciel
Limites du rêve
La fleur est offerte
Les papillons papillonnent
Ainsi va l’amour
Le petit monsieur
Il a cassé son joujou
Et il est colère
Haute trahison
Nos plus beaux fleurons vendus
Il pérore encore
Un culot monstre
Le garant des libertés
Faisons l’inventaire
Bien plus qu’un fumiste
Pluie de propos séduisants
C’est un enfumeur
On est chez les fous
Quand c’est un fou qui le dit
C’est plus fou encore
Malgré l’habitude
Se faire enfler à ce point
Ce n’est pas commun
Un havre de paix
Arbres, douceurs et pensées
Bonheur en silence
Lente régression
On la croyait invincible
La Démocratie
Peaux nues en public
Un peu c’est beau trop c’est trop
Aimons la pudeur
Le bleu de tes yeux
Profonds comme l’océan
Voyage envoûtant
Le rouge en éclat
C’est le sang et la colère
Fourches et bâtons
Envahies de noir
Tristes idées de la nuit
Il faut rebondir
Blanc immaculé
De la naissance au linceul
Toujours avec nous
Jaune est le maillot
La parade du vainqueur
C’est la récompense
Le vert dans le champ
Qui nous enivre au printemps
Et l’espoir renaît
L’orange en folie
C’est le oui ou l’interdit
La peau ou le fruit
Le brun du matin
Traction et manteau de cuir
Frisson dans le dos
Jaillit l’arc-en-ciel
Tous les tons et leurs nuances
D’un coup ne font qu’un
La graine devient ocre
Elle va bientôt nous nourrir
Le soleil et l’eau
Ma main sur ta mousse
Un lézard sur la muraille
Qui se voit plus loin
Sur son vieux tracteur
Il entretient son jardin
Petite vitesse
Je suis venu voir
Le magasin est fermé
Je reviens demain
Il veut la confiance
Après tant d’erreurs énormes
Le comble il l’aura !
Le bateau prend l’eau
Le capitaine est perdu
La panique à bord
Oser l’aventure
Main furtive sous l’étoffe
Voyage en douceur
Serait-ce l’objectif
S’arroger les pleins pouvoirs
Pour la libre voie
Je le veux à moi
Qu’aucune autre n’en jouisse
Pour l’éternité
Le PPCD
Petit Commun Diviseur
C’est le plus Petit
Assemblée dissoute
Changement de godillots
Des frais inutiles
Qui n’entend qu’un son
Raisonne ainsi qu’une cloche
Beaucoup s’en contentent
Elle est femme et mère
D’autres ne sont que mémères
Ce n’est pas pépère
Quand Cannes est en fête
Les stars défilent et s’enfilent
Le peuple cancane
Derrière ce parfum
Nuit dans les champs de Jasmin
Les mains des enfants
Toujours plus d’Europe
Souveraineté, Adieu
Le veut-on vraiment
Europe actuelle
Jamais connu pire arnaque
A fuir en l’état
Chacun sur sa voie
Voix devenues étrangères
On ne s’entend plus
Instrument étrange
Découverte inattendue
Des yeux ébahis
Mort d’un dépravé
D’une voix la cour l’encense
Ça n’a pas de sens
L’idée est en route
Ministère de Vérité
Enfin la lumière
Les pompiers de Lyon
Le feu sur la Canebière
Ils ont pris le train
Bleu, Rosé ou Rouge
Tu les aimes ces trois couleurs
L’orange à goutter
Bout de sein volé
Les décolletés du printemps
Un fruit de saison
Vinification
Un art plus qu’une technique
Pour notre plaisir
Eruption de vers
La poésie des volcans
En coulée de mots
Une, puis deux, puis trois
C’est le bal des fermetures
La rue devient triste
Son corps se trémousse
Au son des sons débridés
Que les mots se taisent
Un Directeur noir
Derrière le balai un blanc
Nouvelle hiérarchie
La démocratie
Elle n’en a plus que le nom
Va falloir s’y faire
Autour et en nous
Des caméras et des puces
On ne craint plus rien
Assis près de toi
Pour un moment de bonheur
Oublier le reste
Assis près de toi
Léger et simple plaisir
A notre portée
Entre qualité
Et choix de la quantité
Pas la même vie
Parlons de la mort
Entre ici et l’au-delà
Chemin sans retour
Me voilà parti
De souffrances je n’ai plus
Je suis libéré
Me voilà parti
De contraintes je n’ai plus
Je suis soulagé
La main des caresses
Son va et vient en douceur
Calme distillé
Lézard en balade
Est-il en gris ou en vert
La question se pose
Glabre iel anal
Dépravation en symbole
Dernier sinistre
Pendue ce matin
Elle se vendait aux plaisirs
La loi l’interdit
On dit papillotes
Pourquoi jamais mamillotes
Une autre injustice
La bonne nouvelle
Il paraît qu’il réfléchit
C’est Bruno l’Amer
Les années qui viennent
Un cauchemar pour l’Europe
Se faire à l’idée
Fin des libertés
Grand projet européen
L’étau se referme
Se voit Jupiter
Devrait revoir sa copie
Un nabot minable
Vider la baignoire
Au début on ne voit rien
Puis ça s’accélère
Être bon à tout
Plus ardu que bon à rien
Ca c’est plus facile
Sur son pantalon
De grosses tâches de graisse
Ca fait ton sur ton
Que fait-elle ici
Dans son plus simple appareil
Elle prend le soleil
Un choix cornelien
Amour avec un grand A
Plutôt qu’un gros tas
Un guss qui déconne
Des contrats pour moins que ça
Ca s’est déjà vu
Déjà des bourgeons
La fin de l’hiver est loin
L’été sera chaud
Ici on s’ignore
Pas bonjour sur ce chemin
Trop près de la ville ?
Plaisir d’être ici
Vous voir en chair et en os
C’est un grand honneur
Avoir de l’humour
Encore mieux être subtil
Un cran au-dessus
Lente à démarrer
L’administration s’éveille
Rouleau compresseur
Assez fort l’animal
Lui qui n’en est pas un
A tout mis à mal
Un esprit brillant
Mais Alzheimer a frappé
Là sans être là
État protecteur
C’était avant, désormais
État prédateur
Rêve européen
Au fil des ans la folie
Où est la sortie
Je trempe ma plume
Dans l’encrier du bonheur
Et les mots jaillissent
Données statistiques
Toutes les quatre minutes
France un AVC
Sa nouvelle vie
Les plus jamais sont nombreux
Suite d’accident
Roman insipide
L’auteur jouit de la gloire
De fait un succès
Éclipse de lune
On ne voit plus le soleil
Mais on le devine
La méditation
Sérénité des pensées
Paix, force et courage
Droit devant la glace
A se regarder en face
C’est dur pour certains
Après tant d’années
Plaisir encore à t’aimer
Le jour ou la nuit
Le temps t’est compté
Centre-toi sur l’essentiel
Tant pis pour le reste
Je t’entends dormir
Et je compte les moutons
Pendant que tu dors
Tant qu’elle s’offre à nous
Sachons jouir de la vie
Ça ne dure qu’un temps
Déclarer la guerre
Jouissance du taré
Belle réussite
Ne pas en parler
Exclure la paix des discours
C’est vouloir la guerre
En cas de menace
L’État peut saisir ton bien
La nouvelle loi
Effleurer sa main
Le sac à rêve est rempli
Il en faut si peu
En ce jour des morts
Nous pensons à nos aïeux
Clin d’œil au passé
Punaises de lit
Sont-elles en terre Adélie
Serait-ce un délit
Prix du kilowatt
Nouvelles hausses à prévoir
Sujet électrique
La rave est mal partie
Pour certains elle est Satan
Il faut la détruire
Manif interdite
Au pays des Droits de l’Homme
Comment l’accepter
Des jours merveilleux
Des rencontres imprévues
Le fruit du hasard
On compte sur vous
Ouvriers et paysans
La révolution
Pensée du matin
Qui te traverse l’esprit
Puis guide ton jour
Un pied hors du lit
Avaler un grand verre d’eau
Première chose à faire
C’est toujours les mêmes
Qui partout foutent le bordel
Puis après s’en vont
Riches dépravés
Leurs serviteurs corrompus
Système sans fin
Le pouvoir aux abois
Les forces de l’ordre aux ordres
Crainte du chaos
Nous n’aurons plus rien
Ainsi nous serons heureux
Et lui sera mort
Assis puis debout
S’il pouvait, lui, se coucher
Et enfin se taire
Otages à Gaza
Que de souffrances endurées
Physiques ou mentales
Sur ces assistants
Ne pas leur jeter l’eau propre
Propos de Ministre !
Ça explosera
Pouvoir sans contre-pouvoir
Impossible à terme
Eux ils entérinent
Nous, nous sommes dans le pâté
Ce sont des cochons
Jamais plus jamais
Enfourcher ma bicyclette
Je ne le pourrai
Menaces de mort
Ce président est si bon
Je ne peux y croire
Au Maroc un Roi
Roi des Pauvres et en France
Président des Riches
Elle ne le sait pas
Je l’imagine en plaisir
Ne jamais lui dire
Verbe macroner
Une idée des Ukrainiens
Ils ont tout compris
Verbe macroner
Aller de gauche et de droite
Et puis ne rien faire
Verbe macroner
Des propos grandiloquents
Coup d’épée dans l’eau
Réunis ici
Pour dire un dernier adieu
Le suivant est là
Enfant sans enfants
Boit son Nesquick à 4 heures
Jeunot va t’en guerre
La clé du succès
Chaque jour sur le métier
Remettre l’ouvrage
Ton jardin secret
Entre fleurs bleues et chiendent
Serre-le contre toi
En ligne de mire
Un objectif à atteindre
Pour se motiver
La nuit est tombée
Angoisse pour celui qui souffre
Verra-t-il le jour
Un chef à haïr
Qui de plus est n’en est un
Et la pression monte
Soirée entre amis
Ce sont des besoins vitaux
Ne pas s’en priver
Le destituer
Une sage solution
Il n’y a plus qu’à
La grenouille a chaud
Quand va-t-elle réaliser
C’est bientôt trop tard
Pantin psychopathe
Qu’on lui donne des jouets
Mais pas le pouvoir
Hier intrépide
Aujourd’hui fauteuil roulant
Surmonter l’épreuve
Ouvert au public
Salon de l’agriculture
Bientôt qu’un musée
Le pouvoir des juges
Mémorable article 4
Bâillon sur la science
Sans les socialistes
Putains de la République
Ce fut évité
Foodtruck, quelle horreur !
Préférons le bouffe à roue
Vraiment plus sympa
Surtout pas d’esprit
Il faudrait n’être que sexe
Radieux avenir
Le vent en rafales
Partout les feuilles s’envolent
Les idées aussi
Dans l’âtre il crépite
Le feu inonde la pièce
Nos corps réchauffés
Plage et sable fin
La mer efface les pas
Des amours se meurent
Le noir de la nuit
Dans le ciel aucune lune
C’est le désespoir
Assemblée 300
Onde de protestation
700 au Sénat
Quand deux corps s’attirent
Une force irrépressible
L’aimant des amants
Un sale quart d’heure
Ils l’ont passé à tabac
Prétexte futile
Où es-tu passé
Mon papy que j’aime tant
Je veux te revoir
Ouvre tes oreilles
Entends le chant de l’oiseau
C’est le renouveau
Quelques mots à peine
Et le fond de ma pensée
Te va droit au cœur
Souffle retenu
Dans l’attente de nouvelles
Le temps ralenti
A quatre cents ans
Il mérite le respect
Ce chêne ancestral
Une nuit ventée
Le tir a été nourri
Demandez au nez
Marcher de bon train
Un caillou dans la chaussure
Elle est entravée
Mets-toi au balcon
Regarde le temps passer
Laisse-le filer
Prudent au volant
En face alcool et vitesse
Effroyable choc
Le mot Suspendu
Divers significations
Que dit le Soignant
Avoir les pieds plats
C’est bien pour marcher sur terre
Parce qu’elle est plate
Que l’homme est cruel
Pour lui et pour l’animal
Jusqu’où ira-t-il
Vers un nouveau monde
Belle idée mais dans les faits
Anciennes pratiques
La laïcité
Quand elle devient un dogme
Elle nous fait du mal
Pensée lumineuse
Apparue comme un éclair
Cerveau merveilleux
Immense dilemme
Mettre au monde un nouveau né
De quoi hésiter
Suffit-il d’écrire
En vers et pieds de surcroît
Pour se dire poète
La danseuse étoile
La portugaise on dit d’elle
La danseuse et poils
Venez vous servir
Dites que vous venez servir
L’hypocrisie paye
Rien ne vaut le rêve
Là, tout est entre tes mains
Pour du pur bonheur
En soins intensifs
Le temps se fait silencieux
Des vies en sursis
Elle tombe sans bruit
Et la ville devient blanche
Tout est ralenti
Douces courbures
Dont jamais je ne me lasse
Immense plaisir
Il en fallait un
Destructeur de la Nation
Il a l’air content
J’ai ouvert mon cœur
L’ivresse vint sans alcool
Force des poèmes
J’ai ouvert mon cœur
Une myriade d’étoiles
Un ciel enivrant
J’ai ouvert mon cœur
Personnes âgées en écoute
Regards lumineux
J’ai ouvert mon cœur
Grappes de notes ont jailli
Oreilles à l’écoute
J’ai ouvert mon cœur
Vos pas de danse inspirants
La muse en musique
J’ai ouvert mon cœur
Des mots en vers à ton endroit
L’esprit en émoi
J’ai ouvert mon cœur
Longues et lentes caresses
Seulement pour toi
Le bout du tunnel
Aux mains de tes geôliers
Quand le verras-tu
Le vœu de 20 heures
Disons le vœu devint leurre
Bien peu de valeur
Ils en ont rêvé
Un projet pharaonique
Puis un puits sans fond
Pour ce nouvel an
Un panier garni de vœux
Bonheur, joie, santé
L’aveugle le pire
Celui qui ne veut pas voir
La cause est perdue
Garder un secret
Pas à la portée de tous
Il faut être fort
Qu’il fut un bel an
Que celui-ci finissant !
Seras-tu d’accord ?
Le divin enfant
Sa naissance célébrée
La joie se répand
Envahi de nuit
Je me love dans ses bras
Bonheur et douceur
La nuit de Noël
L’âne et le bœuf dans la crèche
Ils soufflent le chaud
Stop la grande faux
Veuillez me laisser en paix
Quelques temps encore
Elle voit le bonheur
Son visage s’illumine
Et le fait entrer
Tel un funambule
Les deux pieds doux sur le fil
Nos vies en bascule
Plus on va moins vite
Moins on arrive plus tôt
Évident pour moi
Joyeux No-iel
Gardons les ailes et les îles
Et les pieds sur terre
Mouton tout tondu
Le sort de tout le troupeau
Moutons tous tondus
Ecrits sensuels
Et s’ils arrêtaient le temps
Jouissifs à lire
Une écharpe rouge
Plutôt une plume au cul
Ça lui irait mieux
Début de journée
Bisou sur ta douce peau
Un heureux présage
Intérieur feutré
Sans bruit devant mon écran
Souris caressée
S’en vont un à un
Aucun jamais n’en revient
Aller sans retour
Si l’aïeul te voit
Le penses-tu fier de toi
Si oui, continue
Langage du ciel
Seuls les sages le comprennent
Des heures d’attention
Banni de la Reine
Et des courtisans fayots
Pour avoir dit non
Je veux obéir
Sans comprendre ni savoir
Médaille garantie
Il n’est Vérité
Qui puisse être universelle
Bon pour la Guerre
Au hasard des rues
La pensée guide mes pas
Où m’emmène-t-elle
L’erreur est humain
Persister dans son erreur
Ça c’est inhumain
Pourquoi dire merci
L’Etat Providence arrose
Il est là pour ça
Baver de désir
Mais résister malgré tout
Garder le contrôle
Luisants de sueur
Exténués de fatigue
Les corps sont gisants
Au creux de l’hiver
En campagne solognote
Un week-end festif
L’enfant qu’il était
Hier encore innocent
Aujourd’hui en armes
Si belle était la Terre
Pourquoi l’avoir épuisée
S’en mordre les doigts
Gentils et Méchants
Suivre la liste officielle
Le Prêt-à-penser
La source est tarie
Pas la moindre goutte d’eau
Implorons la pluie
La rue dans la nuit
Il n’est point âme qui vive
Le silence et dors
Le Dur naît du Mou
Si le Mou dort le Dur dure
C’est la mort du Mou
Marchés de Noël
Ca va du meilleur au pire
Son compte trouver
Se laisser aller
Oublier dettes et huissiers
Le temps de respirer
De pas et de notes
Ces deux mélangent leur art
Ecoutez-les voir
Paris Hanouka
Crèche et Jésus en province
Aïd en banlieue
Mots à fleur de peau
Que l’on murmure à l’oreille
S’en suit le silence
Passage éphémère
Tout juste quelques années
Parti, envolé
Nom : arme blanche
Réponse en marche blanche
Jet de fleurs blanches
Un ciel gris et bas
De lourds nuages menaçants
Nouveau jour de pluie
Au sol et sans vie
Ces corps violés et souillés
La paix à leurs âmes
Un vent de folie
Oiseaux emportés au loin
Vont-ils revenir
Effleurer sa main
Le sac à rêves se remplit
La nuit fait le reste
L’adieu est prochain
Simple cycle de la vie
La loi du vivant
Nue et démembrée
Devant la foule exhibée
Au fond d’un pick-up
Sur fond d’IVG
Il se refait la cerise
Quel pauvre minus
Bfmtv
Média lanceur de roquets
Dire que j’y ai cru
Dans mon lit douillet
Pendant qu’ils manquent de tout
Et Dieu dans tout ça
Que dit notre roi
Il obéit à ses chefs
Son peuple il s’en tape
Elle était trop fée
Proie facile pour ces barbares
Pour eux un trophée
La plage et la mer
Rires d’enfants se sont tus
Ce sont eux qu’on tue
Joli petit cœur
Battre tu ne le peux plus
Honte à tes bourreaux
Agression subite
Souffrance au Moyen-Orient
En feu la planète
Le monde allant vers
Quel chemin va-t-il choisir
Le monde à l’envers
Russes et Chinois
Ils ont nommé le fautif
Des mots percutants
La rue doit se taire
Dénoncer un génocide
Passible d’amende
Vésubie en crue
Bus englouti par les eaux
Une perte sèche
Une pièce en l’air
Elle tombe sur pile ou face
En jeu l’avenir
Mouvements de troupes
Un temps de préliminaires
Ça joue les gros bras
Un vrai visionnaire
Les bien-pensants le moquaient
Mais il disait vrai
En tête les chefs
Sur la route des abîmes
Eux les dépravés
D’où sortent ces types
Qui font fi de notre histoire
Besoin de sursaut
Le monde se lève
Peuple de France empêché
Honte à ces censeurs
Là-bas l’opulence
Les petits plats dans les grands
Ici, la misère
Les larmes le sang
Coulent dans tes rues, Gaza
La désolation
Dirigeants d’Europe
Des aveugles ou des idiots
Peu-être les deux
Ses éclats de rire
Fini pour elle, à jamais
Un éclat d’obus
Fuir la peur au ventre
Rechercher un coin de paix
Question de survie
Un sombre avenir
Ces enfants privés d’enfance
Plus tard combattants
Le pauvre et la rue
Une longue histoire d’amour
Quand finira-t-elle
Bébés gazaouis
Entendez leurs gazouillis
Depuis leurs geôles
Un climat tendu
Une vague de chaleur
Un air suffoquant
J’ai mal à ma France
Partout ailleurs le soutien
Ici interdit
Ciel illuminé
Par une pluie de roquettes
Au sol la terreur
Prix du kilowatt
Nouvelle hausse à prévoir
Sujet électrique
Effet domino
Des faillites en cascade
Descente aux enfers
La terre a des coins
Elle ne peut donc être ronde
Alors elle est plate
Soutien interdit
Au pays des Droits de l’Homme
Comment l’accepter
Le ciel s’assombrit
Surgissent des vents de folie
A craindre le pire
Ma peau caressée
Du linge agité de vent
Plaisir éphémère
Des choses à te dire
Je parle dans ta barbe
Mots doux susurrés
Les yeux de l’amour
Ils en oublient de voir clair
Seraient-ils aveugles
Vois le funambule
Sur son fil qui déambule
Il vit dans sa bulle
Elle parle d’amour
Pour lui le cœur est plus bas
La fin en ébats
Je n’ai pas le temps
Un faux prétexte souvent
Si je le prenais
Tous ces animaux
Qui se dévorent entre eux
C’est impressionnant
Parlez-moi d’amour
Mais de sexe surtout pas
Nuance de taille
Tout est noir partout
Des clowns pour nous faire rire
Un besoin urgent
Mois de septembre
Gare aux fusils et canons
Viandards de retour
Si secret-défense
Ne pas y fourrer son nez
Ca peut coûter cher
Assis sur un banc
Le regard dans les chaussures
Il pense à la mort
Ne penser qu’à elle
Jour, nuit, aube ou crépuscule
Bien dure douceur
Arbre ancestral
Il a des choses à me dire
Je vais l’écouter
L’esprit d’escalier
Beaucoup d’occasions manquées
Comment rattraper
La terre a tremblé
Tous ces corps ensevelis
Je pleure les victimes
Croissance infinie
Un postulat erroné
Revoir la copie
Des bulles en surface
Un coup des pets dans l’eau
Affaire sans bruit
Président menteur
Il est dit non vacciné
Aucun démenti
Le regard d’un chien
Totale sincérité
Ça me rend rêveur
Horloge comtoise
Temps lentement égrainé
Son sourd et discret
Traître à la Nation
Alstom ou prix du courant
Pas l’ombre d’un doute
Rien n’est éternel
Un beau jour l’amour se meurt
Une autre vie naît
Au marché aux puces
Elle chine l’oeil bridé
Elle va trouver
Contre productif
Déclaration d’un ministre
Contraire assuré
Ce qu’elle adorait
Une après-midi pluvieuse
Rêver au beau temps
Maison dans les bois
Petit coin de paradis
Le silence et dors
Les séparations
Toute l’année ça fleurit
Aux champs moins qu’en ville
Terres infestées
Insectes en perdition
Jusqu’où ira-t-on
Fils déshérité
D’une fortune héritée
Drôles de parents
Silence criant . . .
Ne pas donner les données
C’est ahurissant !
Bien plus que des BRICS
Avec leurs nouveaux alliés
Du béton armé !
Jours de canicule
Il faut se mettre aux abris
Savoir s’adapter
C’est bientôt l’orage
Je l’entends au loin gronder
Il est en approche
Grand chambardement
Tout ce que l’on a construit
Il faudra détruire
Drame européen
Des technocrates sans âme
Greffons-leur un cœur
On tourne des pages
Un jour on arrive au bout
Le livre est fini
L’orage fait rage
Tonnerre, éclairs en tous sens
Restons à l’abri
Un accident grave
Il avait beaucoup trop bu
Le mâle était fait
Parlons de santé
Commençons par manger sain
Puis bougeons le corps
Se dit en patois
A bièn mangea, vaï caga
De cause à effet
Trois grandes arnaques
Covid, Ukraine et climat
Sont forts ces Ricains
Une idée en tête
Il faut aussitôt l’écrire
Sinon elle s’enfuit
Dans ce grand lit vide
Amours nouvelles attendues
En rêver c’est mieux
Cigarette au bec
Manque de classe et de grâce
Elle est libérée
Résoudre un problème
Commencer par la question
Elle doit être bonne
C’était mieux avant
C’était quand pour vous avant
En fait ça dépend
Chassé-croisé
Chaque été plus de bouchons
Est-ce la crise ?
Rejoindre les BRICs
Sénégal et Algérie
Au tour du Maroc
Maladie locale
Egoïsme forcené
Ca se soignera
Quitté le Japon
Dans la nuit Carlos has gone
Il s’est fait la malle
Accablé de taxes
Malheur à toi qui possèdes
Triste prédiction
Marches Fantastiques
Formidables parenthèses
Des journées heureuses
Des travaux partout
A croire qu’on est riche encore
La fuite en avant
Manque de fantaisie
Pas un poil qui sort du slip
Elle ne rigole pas
Quelle utilité
Si le matin je médite
Et le le soir je piaffe
A Belle-Île-en-Mer
Mit sa belle mère en île
Femme fut amère
Le pouvoir des juges
Ils rendent tout justifiable
Mort du justiciable
Le vent en rafales
Agit-il sur les esprits
Créateur d’angoisses
Les voix du Seigneur
On les dit impénétrables
Qu’entend-on par là
On dit « Qui dort dîne »
Pendant ce temps le porc pine
C’est pas toujours vrai
La main dans le noir
Guidée au gré du toucher
Lente exploration
Prénoms « recherchés »
Arrangés ou d’exception
Puis manger MacDo
Discours officiel
Surtout pas remettre en cause
Sinon complotisme !
Il faut l’accepter
L’infini dans le fini
C’est impossible
Temps long du climat
Temps court de la météo
Ne pas mélanger
Chaque fois ça marche
Raconter des conneries
Pourquoi s’en priver
Dans tous les domaines
Il faut raisonner marché
Temps venu pour l’eau
Les pluies de printemps
Tout pour l’herbe, peu pour les nappes
Qu’elles attendent l’automne
Jeune à la descente
Un vieux en chie dans la côte
Question : qui s’arrête ?
Aller faire ses courses
Le ventre plein et la bourse vide
La meilleure technique
Il faut s’en méfier
Si voilée, la muse elle ment
C’est à retenir
Et ces sms
On n’en entend plus parler
Sacrée Ursula !
Une pluie de baisers
Sur ton sourire lumineux
Nouvelle histoire d’eau
Montre-moi la lune
Sublime spectacle du soir
Coucher de sommeil
Est-ce vraiment utile
Des bidules plein les tiroirs
Surtout encombrants
Le parfait bonheur
Rien ne vaut l’imaginaire
Tout baigne dans l’huile
Elles aident à grandir
Apprenons de nos erreurs
Qu’à ça elles nous servent
Urbain dépendant
Rat des villes et Rat des champs
Rural autonome
Nouvelle tendance
Elles ou ils changent de genre
Un choix sans retour
Elle est poivre aisselle
Le poil devient grisonnant
C’est l’effet de l’âge
La C.A.E.O
Colonie Américaine
D’Europe de l’Ouest
La nuit des guinguettes
Qui rythme les soirs d’été
Effet cache-misère
Balade au programme
Devrait être la dernière
Lac de Gayme au vert
Dans les rangs silence !
Prime à ceux qui seront sages
Ca vaudra bien ça
Avant l’unesco
On était bien dans nos puys
Sans ces interdits
Sur un coup de tête
Un choix à l’emporte-pièce
Regret, mais trop tard
L’Etat dans l’Etat
Tout tourne en circuit fermé
La boucle est bouclée
Feux en forêts
Les animaux en détresse
Combien survivront
Accent d’Outre-Rhin
Accordé au bruit des bottes
Doucement, il vient
Sous l’effet du temps
Sourire devient grimace
Action d’érosion
Si c’est ça qu’on sert
Légumes ne poussant qu’en serre
Nourriture qui sert
De rouge et de noir
Elle est là, feu de l’enfer
Charmeuse et pulpeuse
Comment va-t-on faire
Troupeau trop grand pour le pré
En éliminer
Partout est prison
Question de taille de cellule
Libre, elle est plus grande
Le salut de l’Homme
Plusieurs théories existent
Vous y croyez, vous ?
Les enfants mariés
Fils et mari, fille et femme
Ce peut être ainsi
Parlons du suicide
Les populations l’admettent
L’Etat le rejette
Les grands se protègent
Les lois évoluent pour eux
Ils ne risquent rien
Les syndicalistes
Entre avant et maintenant
Combats différents
Un corps fait de grâce
Des gestes souples et purs
La danseuse étoile
Arrivée prochaine
Portefeuille numérique
Pour notre confort
Le feu d’artifice
L’illusion de la richesse
Une fin en fumée
Gardiens de la Paix
Malgré eux Forces de l’Ordre
Ce n’est pas pareil
Les jeux de hasard
Ce n’est pas qu’argent perdu
Le mieux c’est « pas touche »
Plus que l’on ne croit
Les citations apocryphes
Vérifions les sources
Tout nouveau tout beau
Le propre de tout amour
Quand il est naissant
Religion Dollar
De la valeur sans valeurs
Bien tristes croyants
La poule picore
La patte et l’œil aux aguets
Puis elle pond un œuf
Écoute ce moteur
On a programmé sa mort
Son terme est un hic
Mao l’affirmait
Expérience peigne pour un chauve
Pas vraiment d’accord
Les lois de l’argent
Bien beau mais il y a plus fort
Les Matières Premières
Vénézuela
Pays prospère mais ruiné
On suit à la trace
Fabriquer sa bulle
Un monde pervers et agressif
Doux havre de paix
Garder un secret
Résister sous la torture
Qui a ce courage ?
Qui est concerné
Les fins de mois difficile
Plus en plus nombreux
Jolies poubelles jaunes
Ailleurs un déluge de bombes
Ça ne choque personne ?
Sans Domicile Fixe
Contraint ou délibéré
Un dur choix de vie
Un chevreau vivant
En appât pour crocodile
Il est mort de peur
Guerre du numérique
Pouvoir d’une minorité
Régner sans partage
Des phares dans la nuit
Le bruit du moteur grossit
Le piéton panique
Je me fais un film
J’en suis le héros heureux
Pas besoin de drogue
C’est le Tour de France
Oubliée la couche d’ozone
Tout au maillot jaune
Des filles aiment les gars
D’autres filles préfèrent les filles
C’est affaire de goûts
Comment vais-je oser
De courage je dois m’armer
Non pas de patience
Au sens figuré
Je ne peux pas le sentir
Tout comme au sens propre
Il est peu connu
Voilà qui est fort dommage
Son nom : Klaus Schwabe
Elle a disparu
La douce France de Trénet
Lente destruction
Autant d’énergie
Au travail que pour la fête
Et si c’était vrai
Le manège tourne
L’enfant scrute le pompon
D’un coup il bondit
Marché de village
Un temps plaisant de partage
Terroir retrouvé
L’église est fermée
Le clocher ne sonne plus
Où est le Bon Dieu ?
La mer est salée
Si la tasse était sucrée
Elle serait meilleure
Urgence des banlieues
Le temps des béni-oui-oui
Doit être fini
Un serpent de mer
le projet Galileo
encore une arnaque ?
Sauver les vautours
Leur redorer le blason
Puis faire accepter
Pour anciens nazis
Abris sud-américains
Procès évités
Je pars sur les routes
Je veux me laver l’esprit
Un passé trop lourd
Trop de choses à dire
On ne se taira jamais
C’est impossible
Glaces à St-Martin
Le pèlerinage annuel
Une institution
Jaloux de Netflix
Big-pharma prévoit sa rente
Piquouze périodique
Crise des opiacés
Procès énorme aux US
Pas un mot en France
Plusieurs décennies
Lente descente aux enfers
Point de non-retour
Soleil sur la mer
Chaque soir nouveau spectacle
Comment s’en lasser
Un serpent de mer
le projet Galileo
encore une arnaque ?
Sauver les vautours
Leur redorer le blason
Puis faire accepter
Pour anciens nazis
Abris sud-américains
Procès évités
Mélange de peinture
Un pot est noir l’autre est blanc
Les deux font du gris
La famille Sackler
Mécénat plutôt douteux
C’est loin d’être clair
Ils crient leur détresse
Réponse de la République
Yeux et mains en moins
Toi et moi maman
Unis d’un amour unique
Même après la vie
Marmottes en Alpages
Des passants vous vous méfiez
Vous n’avez pas tort
Propovocateurs
Des propos provocateurs
Destabilisant
Aux tristes jours sombres
Mieux valent les nuits éclairées
D’elles nait la lumière
En marge du groupe
Autant dedans que dehors
Je suis bien ainsi
Il fait un malaise
On s’affaire autour de lui
Rien n’y fait, il meurt
La loi des marées
Quatre fois par vingt quatre heures
L’eau part et revient
Les pièces rapportées
Pas toujours bien intégrés
Des corps étrangers
Feu vert dans la nuit
Un gros camion passe au rouge
La vie tient à peu
Le pays en feu
Programme des festivités
La priorité
Le rêve est plus doux
La réalité est dure
Une réalité
Peuple gentillet
Une fois lobotomisé
Il va où on veut
La femme au pouvoir
La grosse commission d’Ursula
Gagne-t-on au change
Le compte à rebours
Un jour en moins chaque jour
N’y pense pas, vis
Comprendre la France
Plus tu bosses, plus t’es taxé
Sans bosser, tu touches
Quand la reverrai-je
Terne vie sans son sourire
S’armer de patience
Ton jardin secret
Aime-le, protège le
Filtre les entrées
Qu’a t-il dans la tête
la destruction du pays
Qui l’a envoyé ?
Marcher c’est plaisant
Un caillou dans la chaussure
Ça l’est beaucoup moins
Un crapaud surgit
L’annonce d’un nouvel amour
Tiens toi en éveil
Marmotte en alerte
L’aigle tourne dans le ciel
Rentrer dans son trou
Cette eau à foison
De la fonte des glaciers
A nos robinets
C’est souvent ainsi
Dès qu’il reprend sa voiture
Il redevient con
Tes bras dans mes bras
Je veux ton corps près du mien
Nous nous enlaçons
Une longue patience
Pour les preuves accablantes
Le temps des procès
Alcool, drogue et sexe
Les nouvelles priorités
Déclin programmé
Suivre le troupeau
C’est le choix du plus grand nombre
Tellement plus facile
Aucunes pour le peuple
Forces de l’ordre mobilisées
Macron en danger
Flics et délinquants
Le quotidien des quartiers
Un ange trépasse
D’une année sur l’autre
Pertes ou gains de fonction
Assez incertain
Une tête au football
C’est des neurones qui s’en vont
Déjà qu’au départ…..
Les quartiers dits chauds
Une définition nouvelle
On n’est pas gagnants
Un monde fait que d’elles
Ne serait-il que bonheur
Ouvrons les paris
A tombeaux ouverts
Sur les routes des vacances
Où est le cerveau ?
Chefaillon zélé
Ça, je n’aurais jamais pu
Il y en a pourtant
La mer, la montagne
Ce sont des milieux hostiles
Partout sont les Saints
Polnareff chantait
Mouche posée là sur ta bouche
Essaie avec mite
Je n’aurais pas cru
Où j’ai vu plus de racisme
Pas en Europe
Pas de clignotant
Tu sais que tu vas tourner
C’est donc inutile
Réduire la voilure de
Ça pourrait avoir son charme
Chasser l’inutile
Toutes les conventions
Ne sont que des conventions
On peut les changer
A main baladeuse
Résultat inattendu
C’est la main courante
De vie à trépas
N’en faisons pas tout un plat
C’est le lot de tous
Propos hypocrites
Politiques ou Commerciaux
Quid de leur conscience
La colère des Dieux
Ils répondent par Nemesis
A l’Hubris de l’homme
Rêve d’un monde meilleur
Je sais que c’est impossible
Je le rêve quand même
La vie m’est donnée
Mais si je me donne la mort
Reprendre c’est voler
Récit d’uchronie
Rejet de la Macronie
Un bol d’oxygène
Horror dit trois fois
Macbeth acte III scène III
Ça fait culturé
Les riches et leur cour
Faux semblants, flagorneries
Qui en sort grandi ?
Le nouveau credo
Le pouvoir de dire non
A la moindre alerte
On est soulagé
Il vendait son âme au diable
Il est condamné
Le désert avance
Du temps la banquise recule
On est au milieu
La fête en plein air
Soleil succès assuré
Pluie tout est foutu
Entends tu la pluie
Il faut rester à l’abri
Ça me plaît beaucoup
Les anti fouchistes
Il y a bien des anti tout
Pourquoi pas ceux là
La presse quotidienne
Qui lui fait encore confiance
Plus que l’on ne croit
Fête de la musique
Bières, frites, merguez et chipos
Pas que, c’est heureux
Je suis pessimiste
L’étau sur nous se resserre
Y a-t-il une issue
Sur le bas côté
En dehors des sentiers battus
Jamais comme les autres
La route est étroite
On ne peut pas se croiser
Comment va-t-on faire ?
Toutes ces mises aux normes
Combien auront les moyens
Mais quelles solutions
Respirer l’air pur
Loin de la ville polluée
Le temps d’un week-end
Climato-sceptique
Le climato-réalisme
C’est plus responsable
De plus en plus chaude
Es-tu bientôt toute à moi
J’en ai tant envie
La Mer de Glace fond
Chaque année plus haute plus loin
Qui peut en douter
On se marie moins
Plus nombreux sont les divorces
Pour quelles conséquences
Bois à ta santé
Elle est ton bien le plus cher
Reste à son écoute
Le quotidien use
Comme le vent sur le rocher
Il est insidieux
Le chat dans la ville
Terrible pour les oiseaux
Même repu il tue
Pour chaque argument
La réponse est oui mais non
Soyons plus précis
Ce petit Jacob,
La cherchera t-il longtemps ?
Sa maman n’est plus
Toi qui râles toujours
Pense aux souffrances de l’enfant
Ça fera du bien
Où es tu maman ?
Je suis là, dans les étoiles
Que fais tu là haut ?
Ère du numérique
Nous n’aurons plus la même ère
Une autre galère
Mes plus belles années
De musique et poésie
Elles sont devant
Ils quittèrent le nid
Les murs devinrent silencieux
La vie reviendra
La tête est pourrie
Aïe pour le reste du corps
La fin est prochaine
Poursuites au pénal
Faits gravissimes avérés
Médaillée en France
Deux et quatre roues
L’un et l’autre se doivent respect
Question de survie
Créer l’atmosphère
Nappe blanche et bougies rouges
Ambiance suave
Silence tout autour
Mieux entendre la musique
Elle nous régénère
Au bout du temps lourd
Écouter la pluie tomber
C’est rafraîchissant
Cela est un fait
La France est un beau pays
Aucun chauvinisme
L’art du pieux mensonge
Les susceptibilités
Sont mieux protégées
Ma vieille carcasse
Elle m’amènera plus loin
Si je l’entretiens
Comme un mamelon
Le dessin du puy de Dôme
Un mont de douceur
Déséquilibrée
Telle est notre société
Quand ira-t-elle mieux ?
Des emplois nouveaux
Très bonne initiative
Pertinence des choix ?
Mâchant son chewing-gum
Au concert dans cette église
Manque réel de classe
Se suivent les jours
Qui ne se ressemblent pas
Fort heureusement
Dépasser la borne
Quand la Borne est dépassée
S’attendre au danger
Courriers retrouvés
Tous ces secrets qu’ils dévoilent
Surprises en lisant
Une maison fermée
Silence après tant de vie
Espoir qu’elle revive
Réflexion du jour :
Le bonheur de posséder
Est-ce une certitude ?
A chaque funéraille
Parmi tous ceux qui sont là
Qui est le suivant ?
Vous me suppliez
Mais comment vous résister
L’enfer est tentant
Catalogue mondial
Des semences autorisées
Quelle finalité ?
Ce matin à l’aube
Il a fait un Avé chié
Nous prions pour lui
Des familles d’accueil
Pour enfants en déshérence
Un bravo immense
Force du bon bailleur
Il peut en faire bailler sept
Qui veut commencer ?
Une fois abattu
L’arbre nous sera utile
Disons-lui merci
Plus chaud ou plus froid
Les avis sont partagés
Mais qui a raison ?
Le temps qu’il va faire
Ne pas le savoir d’avance
Mieux vaut la surprise
Centaines de millions
Les victimes de la dernière
Prochaine en milliards ?
Hasard du hasard
Est-ce par le fait du hasard
Que vient le hasard ?
S’il vient par le train
C’est à la gare St-Lazare
Qu’arrive le hasard
La liste s’allonge
Au fil des semaines et mois
Dans mon cœur l’émoi
Longues soirées d’hiver
Pensées à la belle saison
En seront meilleures
Rosé(e) du matin
Ça n’a pas les mêmes effets
Si un ou deux « e »
Le seul vrai moment
Pour apprécier le bonheur
C’est quand il s’arrête
Beauf sans le savoir
Nous le sommes tous pour un autre
Et inversement
Soirée nostalgique
Revoir tous les être chers
Une pensée pour eux
Éviter l’enfant
Quelles étaient vos ruses Mesdames
Dans les temps anciens
Troupeaux de moutons
Menés par des ânes pervers
Ce n’est pas glorieux
Il n’est rien de pire
Que l’idiot persuadé
D’être intelligent
Mes mains sur tes fesses
Tes seins devront patienter
Partage du plaisir
A perte de vue
Des pâturages immenses
Seuls les oiseaux chantent
Terre à partager
Éduqués, non éduqués
Pas le même monde
Ces petits moineaux
Ils piaffaient dans nos jardins
Maintenant silence
Langoureux préludes
Aucune précipitation
Plaisir distillé
Douce après midi
Dans la petite maison
Château inutile
L’orage est au loin
De plus en plus fort il gronde
C’est bientôt pour nous
Bobos et cassos
Un concert les réunit
Mixité sociale
Oh pardon ma tchat
Je crois bien que GPT
Ça sent pas bien bon
Casquette et bonnets
Pour la tête et pour les seins
Je tire mon chapeau
Quelques notes par jour
Ukulélé ou saxo
Les oreilles adorent
Escrocs au pouvoir
Combien de têtes à tomber
La tâche est immense
Rosée du matin
Partir fouler l’herbe fraîche
L’esprit sera vif
Il me dit bonjour
Me sourit sans me connaître
D’un coup deux heureux
Sable à tamiser
Prendre une raquette de tennis
Tout passe au travers
Vivre malgré tout
Pendant que tombent les bombes
Je fais mon jardin
Vers un monde nouveau :
Absolument impossible !
Parce que l’Homme est Homme . . .
Climato-sceptiques
Difficile de les comprendre
Ouvrons le débat
S’il est trop tendu
Ne tire pas sur l’élastique
Il pourrait casser
Tous ces gens parfaits
Un point choquant sur chacun
Faut-il les exclure
Adoucir les mœurs
On aurait tous à gagner
Que vive la musique !
Je te bois des yeux
Mes oreilles te sont tout ouïes
Parle-moi, j’attends
Sans sens est la vie
A quoi bon lui en chercher un
C’est perdre son temps
Attendons demain
Il sera un autre jour
N’en disons pas plus
Dessin au fusain
Entre rehauts et jeux d’ombre
L’art de la nuance
La séparation
Se sont-ils aimés un jour
Ou pour faire semblant
Une pensée m’effleure
Arrive un flou dans les yeux
Cet être sensible
Question récurrente
Quel chemin vais je emprunter
Un choix cornélien
Très bien pour l’instant
Sous peu un choc effroyable
Bascule de la vie
Au son de son sax
Elle ondule comme un serpent
Venin à venir
Oser tenir tête
Aussitôt mis à l’index
Mais l’honneur est sauf
J’ai toujours raison
Si on me prouve le contraire
Je tourne les talons
C’est tombé sur lui
Il n’avait rien demandé
Dure loi du hasard
Sécheresse ici
Des pluies torrentielles ailleurs
Quelle répartition !
La guerre en Ukraine
Quand parlera-t-on de paix
Pas l’ordre du jour
Un pigeon se lâche
Je suis bêtement dessous
Devinez la suite
Enfin la pluie tombe
Il jette son chapeau en l’air
Tout comme ses aïeux
Fête partout en ville
Terrasses des cafés bondées
Ça sent le bonheur
Lui dire qu’elle est belle
Elle le sait depuis longtemps
C’est donc inutile
Quand les yeux se ferment
Il s’ouvre un monde merveilleux
Évasion totale
Que j’aime ces odeurs
Parfums naissants au printemps
La nature repart
Gare aux tentations
Nombreuses en temps incertains
Toutes ne sont pas bonnes
Un vent déchaîné
Bourrasques impressionnantes
Danger sous les arbres
Balade en montagne
Remplir les poumons d’air pur
C’est bon pour l’esprit
Traite matinale
Tous les jours ça recommence
La vie paysanne
La pédophilie
Tort de viser que l’église
Il faut élargir
Ainsi va la vie
Dégradation lente et sûre
Aujourd’hui en France
Un soleil trompeur
Il brille comme un président
Traître mois d’avril
Concert de casseroles
Partout en ville ou banlieue
Un bruit inaudible
Le peuple en souffrance
Rien en soi de très nouveau
Ça devrait durer
Quelques-uns l’élisent
Puis les ordres viennent d’ailleurs
Marché de dupes
Chargé de mission
Un titre qui en dit long
Autre corruption
Ubu n’est pas mort
Des fous qui guident les aveugles
Triste destinée
Galbe de la croupe
S’en suit la queue du cheval
Un plaisir à voir
Mépris sur mépris
Que ce type est détestable
Jusqu’où ira-t-il
L’un dit « vacciné »
Un autre crie au mensonge
Aucun démenti
Troubler les enfants
Projet du plus mauvais genre
Elites perverties
Sage et de bon sens
Il est top et rationnel
C’est lui qu’il faut suivre
Du blanc sur fond bleu
Curieuses traînées persistantes
Un ciel inquiétant
La nouvelle folie
Choix du sexe des petits anges
Qui veut les détruire ?
Départ en mémoire
Plusieurs années ont passé
L’oeil encore humide
Drôle de guerre n’est plus
Les militaires évoluent
C’est la guerre des drones
Beauté de ces herbes
Sur un lit de sable fin
Bientôt gorgées d’eau
Caresses du matin
Par le sommeil engourdies
Peinent à émerger
S’imposer en force
Il s’en suit de la rancœur
Qui sera violence
Nul en son pays
Sur ceux qui sont ses fidèles
Ne peut s’appuyer
Les nouveaux réflexes
Plutôt qu’ouvrir la fenêtre
Baisser la chaudière
Dures lois des marchés
S’il suffisait de marcher
Mais il faut courir
Du mal à le croire
Si joli petit agneau
Demain l’abattoir
Forgées par l’histoire
Leurs lignes épousent les reliefs
Au fil des accords
Tirées au cordeau
Par l’envahisseur pressé
Qui veut en finir
Barrières pour humains
Les animaux les franchissent
C’est tout naturel
En flux et reflux
Les frontières avancent, reculent
Au gré des combats
Épris l’un de l’autre
Barbelés et miradors
Amours empêchées
Peuples déchirés
Parcelles de terres morcelées
Un désastre humain
Des puissants la veulent
Les petits doivent se taire
Dure loi de la vie
La terre est entière
Pour elle il n’est de frontières
Quand le verra-t-on ?
Les députés boivent
Mais ce sont nous qui trinquons
Pas les Bourbons
La ville électrique
Sols et sous-sols dévastés
Des bobos heureux
Ma piscine sans eau
Le bétail lui meurt de soif
Il n’aura plus d’os
Le corps est fait d’eau
Un certain théâtre aussi
Celui du Vaudeville
Attaques incessantes
Pour diviser l’ennemi
A lui de faire corps
Dégâts de la drogue
Un humoriste en prison
Ça ne rigole plus
Est au sud Ernest
Alors qu’on la dit à l’ouest
Cette Eléonore
Le confort des uns
Repose sur l’enfer des autres
Où te situes-tu ?
Les mineurs mineurs
Encore sur terre jeunes sous terre
Un problème majeur
Sept l’appellent Papy
Il n’a jamais été Papa
C’est du en même temps
Question entre nous
Qui partira en premier
D’ici là, vivons !
Les églises en feu
Les mosquées en construction
Changement radical
WhatsApp au volant
Le choix de la Liberté
Des morts innocents
Le film à l’envers
Certaines scènes à modifier
Malheur en bonheur
Un trésor trouvé
Depuis longtemps il est là
Bonheur quotidien
L’histoire des heures sombres
Comme le monstre du Loch Ness
Elles refont surface
Construire est très long
Une seconde un mot suffit
Et tout est détruit
Le printemps revient
L’espoir et le renouveau
Chantez mes oiseaux
Un pas après l’autre
Sur le chemin de la vie
Parcours fascinant
Combat militant
Triste écriture inclusive
La langue est victime
Décisions ignobles
Se taire est être complice
Il faut se lever
Si tu meurs de faim
Laisse Thomas dans l’étalon
Te dit le jockey
Pas très dégourdie
L’empotée auvergnate
Mais on l’aime bien
La fin de l’hiver
Elle a sorti la terrasse
Joie d’y prendre un verre
Une vieille auto
Restée longtemps sans rouler
On the road again
Des jaunes et des verts
Avancer d’un pas léger
Sérénité douce
Maisons sur échasse
Bercées au fil des marées
Le temps peut couler
Entrée dans sa vie
Son corps d’ange cache un démon
Un drame à venir
Ronds et amples gestes
Des épaules jusqu’à la croupe
Tout un corps dompté
Vautours embusqués
Les petits sont à l’abri
Car les mamans veillent
Matin c’est trop tôt
Soir c’est par contre trop tard
Un terrain d’entente
Avec son corps beau
Elle aime paraitre à la ville
Étant encore belle
La mère et l’enfant
Le corps beau et l’heureux niard
Deux façons de dire
Plaisir de chanter
A tout moment en tout lieu
Se laisser aller
Un zodiac en mer
D’énormes vagues se déchaînent
Traversée d’enfer
La ville en vélo
Pas toujours de tout repos
Il faudra du temps
Un immense merci !
Une porte ouverte sans réserve
Un moment magique
Bien étrange affaire
Devait parler, fut noyée
On ne saura pas
Une facture salée
Pour quatre vingt dix convives
Sacrée casserole
On accuse le chef
Silence des autorités
Cela est suspect
Instant de bonheur
Entre animaux partagé
Sage et profitable
La France va sombrer
En raison des Europhiles
L’Allemagne est heureuse
Ce n’est pas nouveau
Chaque farce veut un dindon
Le prochain, c’est toi ?
Bill et Mélinda
Des prénoms qui sonnent doux
Mais c’est à trembler
Mensonge au grand jour
Bien trop fiers pour s’excuser
Honte au vil orgueil
Les vautours s’acharnent
Pour des intérêts sordides
L’enfer les attend
Bravo Professeur
Sans faille le cap maintenu
Grande dignité
Colombes ou vautours
Chacun leur utilité
Pas le même message
Un pré au printemps
Les fleurs jaunes et l’herbe verte
Tes cheveux aux vents
Tu étais si belle
Le temps s’est joué de toi
Ton charme est ailleurs
Égrainer les heures
Toute une nuit de souffrance
Jour long à venir
École de commerce
Belle carrière en marketing
Fin en burn-out
La douce insouciance
Beaucoup en ont profité
Jusqu’à l’indécence
Pour tomber malade
N’attendez pas le week-end
Le risque est plus grand
Les rayons sont pleins
Pas besoin de s’inquiéter
Consommons encore
Au sombre avenir
Opposons nos joies et rires
Toujours ça de pris
Échiquier mondial
On connaît les Roi et Reine
Qui sera le Fou
Avec le sourire
Il vend la Route de la Soie
Drame en gestation
Régime bananier
Choyer copains et coquins
Bonnes planques pour chacun
Souvent pour un rien
Cessons de nous quereller
La vie est si belle
Plus dur de partir
Rester à proximité
Tant à découvrir
Agneau dans ton pré
Oser t’enlever ce bonheur
Prendre un autre plat
Au jeu des alliances
Vont et viennent les liaisons
Question d’intérêts
Le pouvoir du maître
La soumission obligée
Les disciples en pleurs
S’il disparaissait
Le pays serait en liesse
Mais ce n’est qu’un rêve
C’en est terminé
Plus qu’une page à tourner
Souvenir et temps
La nuit veut venir
Au loin le soleil résiste
Demain il revient
Chaude cérémonie
Tous les proches font corps et qu’un
La paix est en nous
Journée magnifique
Puis ce soir viendront des pleurs
Penserons à toi
Ose franchir l’obstacle
Une fois de l’autre côté
La vie t’est offerte
C’est riche et varié
Comme eut dit Ricé Barrier
Paysage sublime
Un immense bravo
Et des milliers de mercis
Aux sauveurs de vies
Après tant d’années
Des nuits aux désirs ardents
Corps encore aimé
Les dix chattes hurlaient
Au désir de voir l’amant
Scandale en son temps
Menés en bateau
Loin de ce que nous avions
Un drôle de voyage
L’idée était belle
Nous l’avons crue dur comme fer
Elle n’était que leurre
Traitres à la nation
Ils nous conduisent à la ruine
Europe kafkaïenne
Les Amérindiens
Ils ont été affamés
Bientôt notre tour
Ma main sur ce ventre
Qui porta nos deux enfants
Je vais bien dormir
Tu es monté tard
Et moi je suis ta grenouille
C’est ce que l’on croit
Nuit noire yeux fermés
Je te vois de mes caresses
Douce et chaude ambiance
Bateau égaré
Par le barrage aspiré
Ne peut s’échapper
Lunettes sur le nez
Les yeux fermés dans la nuit
Les rêves sont plus nets
La vie parmi nous
Un jour elle est emportée
Place au temps de deuil
Nourrir ses pensées
En l’absence de l’être cher
Dans son souvenir
Elles ne veulent que vivre
Leurs tyrans les interdisent
Souhaitons qu’elles l’emportent
Ne mènent pas qu’à Rome
A toi de choisir le bon
Vie n’a qu’un chemin
Malin le devin
Qui peut prédire le futur
Grande incertitude
La sobriété
Un sage concept oublié
Il va revenir
Jets cloués au sol
Le vent aurait-il tourné
Changement dans l’air
Sabotage en mer
A qui profite le crime
Plus tard nous saurons
Bientôt le départ
Je n’en ai plus pour longtemps
A toi nouvelle vie
Nuitées insolites
Du piment dans l’ordinaire
Bon pour le bonheur
Heureuse ou contrainte
La décroissance est en route
Autant bien la vivre
Sur ma bouche assise
Libre et offerte comme jamais
La suite est suave
Trop longtemps en paix
Embraser le continent
C’est en gestation
Vont-ils arriver
Ils sont haineux et armés
Quel accueil offrir
En lui rajoutant
Deux jolies petites moustaches
On comprendrait mieux
Vacances terminées
Pour nos députés pantins
Place à la vacance
S’étirer le corps
Avant de sortir du lit
Moment bénéfique
Si dès le lundi
Tu penses déjà au week-end
Change donc de boulot
Sacrés godillots
Ils s’ébrouent dans tous les sens
Que de vent brassé
Sur toi veille l’oeil
En tout lieu et à toute heure
Sens-toi protégé
Jolis petits rats
Entre pointes et entrechats
Magique opéra
La grande muette
N’a pas dit son dernier mot
L’oreille sera sourde
Un acte gratuit
Seul plaisir de faire du mal
Cracher son venin
Un jour de leurs actes
Souhaitons qu’ils aient à répondre
Châtiment hors pair
Sur l’Île-aux-Plaisirs
Soir avec elle aux désirs
Nos pensées s’inspirent
Finie la prison
Retrouvée la liberté
Mais aussi ses pièges
Une fesse en main gauche
Ainsi qu’un sein en main droite
Bonheur des rondeurs
Garder un secret
Dur et lourd à soi tout seul
Pourtant à ce prix
Tu es sur le coup
Accroche-toi jusqu’au bout
Bientôt la victoire
Comment revenir
Exclus d’une telle violence
Ce n’est pas possible
Jour du jugement
Un châtiment exemplaire
Notre délivrance
Trouver le mot juste
A propos, au bon moment
Exercice de style
Sur les quais de gare
Les voyageurs vont et viennent
Toutes ces vies se croisent
Malgré tous les morts
Encore traités d’antivaxx
Les non injectés
Dans le matin clair
Bercé d’actualités
Réveil d’idées noires
Chez les Grands Bretons
Il pleut des chats et des chiens
Nous on dit des cordes
Comme un parapluie
De l’enfance à la vieillesse
Déplie puis replie
La bombe atomique
Eux seuls l’ont utilisée
Jamais inquiétés
Dans sa cheminée
Que du bon bois de Boulogne
Et un bouffadou
Il est dit Géant
Parmi les 80 puys
Dominant la chaîne
Longs et effilés
Ils caressent les octaves
Plaisir des oreilles
Sous ces eaux dormantes
Toute une vie fourmille
Source d’avenir
Tous ces beaux parleurs
Qui défilent sur les plateaux
La source ne tarit
Avant toi j’étais
Tu es et je ne suis plus
Continue à être
Le rouge en avant
La couleur du passionnel
Celle aussi du sang
Le raisin est mur
Arrive le temps des vendanges
Puis le vin à boire
Oubli Khashoggi
Se rafraîchir la mémoire
Question de devoir
A manger pour tous
Il va falloir composer
Qu’en pensent les bovins
Le calme est en toi
Toutes tes pensées s’apaisent
Sereinement, va
Spectateurs dociles
Comptent les points sans y croire
Puis la guerre éclate
Un bébé lama
A l’aise même s’il vient de loin
Du bonheur à voir
Les salles de torture
On les croirait d’un autre âge
Elles sont à nos portes
Un jour dans la peine
Couleurs fades, au mieux pastelles
Soir lent à venir
Unissons les corps
Ensemble ils seront plus forts
Leurs cœurs moins meurtris
Enlevées les broches
Mobilité retrouvée
C’est un grand plaisir
Bouée rouge en vue
Un nageur est en dessous
Il faut l’éviter
Les gendarmes sonnent
Leurs quelques mots sont glaçants
Et la vie bascule
La peur de la mort
Elle empêche souvent de vivre
Mais pas de mourir
Être heureux d’un rien
De ce que l’on nomme bonheur
Est une recette
Quand on n’est que veau
Dirigé vers l’abattoir
C’est Mort ou Sursaut
Un ciel bas et lourd
Se répand sur la campagne
Charme de l’automne
J’en suis convaincu
L’inégalité des chances
Vaut un ministère
Silence pesant
Il n’y a plus de commerces
Le village se meurt
Mangeons des fruits
Dans le respect des saisons
N’en sont que meilleurs
Covid ténébreux
Mais grâce à vous la lumière
Merci les amis
Manger un des cerfs
Pour tout plat de résistance
Bonheur du chasseur
Il est des tortures
Où le bourreau souffre aussi
C’est bien du gâchis
La peur de la mort
Elle empêche souvent de vivre
Jamais de mourir
Comptez les lèche-culs
Ils pullulent de partout
Comme aux temps des rois
Un peuple abruti
Des dirigeants vérolés
Et vogue la galère
Quelques-uns déconnent
L’autorité réagit
Nous subissons tous
Roman national
Écrit par des corrompus
On doit adhérer
Il faudrait agir
Journée de labeur en vue
Trop bien sous la couette
Tous ces rigolos
Des ministres aux journalistes
Gangrènes du pays
Deux papillons volent
Mais qu’ont-ils donc dans la tête
On dirait qu’ils s’aiment
Des blés en farine
Le pain bientôt en étale
Avoir de quoi manger
Par monts et par vaux
Tout ce chemin parcouru,
Ils sont épuisés
Un rafiot de fortune
Par mer calme et pleine lune
Périlleux voyage
Des mots en chanson
Une mélodie accompagne
Le message passe
Bleu radieux du ciel
Des avions de chasse décollent
Pluie de bombes soudaine
C’est l’après-midi
Dans le jardin l’enfant joue
N’en demande pas plus
Rondes à croquer
Ivresse de leurs couleurs vives
Le plaisir des yeux
Le ciel devient noir
Le gros temps va s’installer
Finis les beaux jours
Juste pour le plaisir
Porter des coups sans raison
Pourquoi tant de haine
Discrètement éteinte
Un zigoto lui succède
Couronne mal en point
L’Allemagne fut vaincue
Puis vint l’aubaine de l’Ukraine
Vengeance sur les Russes
Mes pensées ce soir
Aux Ukrainiens russophones
Que les Azov torturent
Prends moi dans tes pattes
Pour un gros câlin douillet
Titoutou d’amour
Ces chefs qui sont ânes
Où vont ils donc nous conduire
L’abîme n’est plus loin
Les opportunistes
En raisonnant à court terme
Eux aussi détruisent
Reluisent dans la nuit
De la pleine lune éclairés
Les poils du berger
Électricité
On devra la partager
Les nantis aussi ?
Cadeaux somptueux
Que l’on croyait généreux
Ne flattaient qu’ego
Volcans endormis
Aux douces rondeurs apaisantes
Sans cesse contemplées
Les ors disparaissent
Ne s’en émeuvent les sages
Richesse des songes
Lové contre toi
Dans l’attente du jour qui vient
Moment de bonheur
Ils veulent nous voler
La richesse qui est en nous
Sachons nous méfier
Route de la Soie
Qui dessine le nouveau monde
Avance à grands pas
Sordide arme blanche
Au bout du quai c’est la mort
Qu’il allait croiser
Ainsi qu’un calice
Entre mes mains ton bassin,
Ivresse annoncée
Un peuple abruti
Des dirigeants vérolés
Futur incertain
Le père est un guide
S’il est absent pour l’enfant
Comment le vit-il ?
Traité d’en.cu.lé
Rit, s’en tape, comme de ta France
Toi, tu en penses quoi ?
Ce type est abject
Du génie en politique
N’en a que le mal
Comptez les fayots
Ils grenouillent de toutes parts
Comme aux temps des Rois
Fourche du diable en main
Il extirpe la gentiane
Geste de Titan
Malgré la nuit noire
Elle continue de tourner
Demain jour levant
En pays d’Aubrac
Lignes d’horizons lointains
Libèrent les pensées
Heure devenant grave
Quand sont interdits les textes
Non conventionnels
Je le vois venir
A pas feutré de Panzer
Ce noir avenir
Tirer sur la corde
Quelles seront les conséquences
Si d’un coup elle casse
Petit doigt cassé
A lui seul peut tout changer
Dans ton quotidien
Des ordres sordides
A l’encontre de soignants
Croyez vous qu’ils dorment ?
De toute la cinquième
Jamais fut autant haï
Que ce Président
On le dit vaccin
Il n’est pas sûr que Pasteur
Soit du même avis
Papillon de nuit
Autour de la lampe tourne
Elle s’éteint, il part
D’un doigt délicat
Tendres et douces caresses
Désir puis plaisir
Même après leur mort
De leur vivant tant abjects
Dure paix intérieure
Savoure ton bonheur
Qui est là devant ta porte
Demain l’on ne sait
Toute dénudée
Une folle envie d’être aimée
Vienne le clair de lune
Toutes les mamans
Puisse-t-on encore longtemps
Leur clamer je t’aime
Fraîchement coupée
Herbe verte bientôt en foin
Réserves d’hiver
Vite que vienne le soir
Dans la nuit se laisser choir
Pour ta source boire
Avions dans le ciel
Tapissent la nuit de leurs bombes
Désespoir au sol
Manipulation
Les foules ont été bernées
Jusqu’où ira-t-on ?
C’était tôt, printemps
Et pour nous la découverte
L’amour était né
Mes mains sur ton corps
Tes ronrons de chatte heureuse
Nos nuits apaisées
Maladie je t’aime
Mais celle des Amoureux
Prends-moi dans tes bras
Eau, boir’ à ta source
S’enivrer de ta pur’té
Se laver l’esprit
Je t’entends dehors
Merci pour ton chant l’oiseau
Dedans il apaise
Laisse-les monter
Sur eux tu ne peux agir
Mets-toi à l’abri
Planter des salades
Arroser, les voir grandir
Bientôt s’en nourrir
Serions nous des Bill ?
La logique du Bill doseur
En bloc rejetons !
Brumes du matin
Attendons qu’elles se dissipent
Nous verrons plus clair
Déclin du soleil
De nouvelles pensées surgissent
Et la nuit prend vie
S’il faut rationner
Que les golfs soient sauvés
Pour eux gardons l’eau
La nuit va tomber
Avec elle viennent les songes
Beaux ou terrifiants
Lentement le temps
Une à une les égraine
Secondes et heures
Lasse d’être féline
Une féroce tigresse
D’un coup devient-elle
Soignants suspendus
Au-delà de la raison
Violence inouïe
Sortir du sommeil
Caressé par les rayons
Du soleil qui brille
Construire le bonheur
Une lente et longue patience
Un rien le détruit
Vérité d’un jour
Que l’on grave dans le marbre
Soudain balayée
Douceur de l’écrin
De plaisir aller venir
Puis s’abandonner
Ce matin encore
Pour démarrer la journée
Sur ton corps mes mains
Quand le chef est nul
Et qu’il se croit le plus fort
Le pire à venir
Petit déjeuner
A peine est-il avalé
Vient l’envie de chier
Musique je t’écoute
Je note que tes notes m’apaisent
Sans jamais lasser
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